Poupette Kenza fait de nouveau parler d’elle sur les réseaux sociaux, apportant avec elle de nouvelles controverses. Malgré ses promesses de se concentrer sur des contenus positifs, elle génère régulièrement des vagues médiatiques. Dernièrement, une vidéo montrant son mari en pleine crise de colère a circulé, laissant planer des doutes sur leur relation. Peu de temps après, le couple réapparaît, visiblement réconcilié et tout sourire.
Quelques jours avant cet épisode, elle informe ses abonnés que la police a fait une descente chez sa mère en France. Loin de s’inquiéter, elle affirme qu’elle n’a rien à se reprocher. Kenza Benchrif, de son vrai nom, n’en est pas à ses premiers démêlés avec la justice, ayant déjà vu sa société condamnée en novembre 2023. Après des accusations d’agression envers sa nounou, elle est désormais critiquée pour des propos antisémites. Les réactions ne se sont pas fait attendre. Des voix se sont élevées pour condamner fermement les paroles de la jeune femme et parmi eux, les chroniqueurs de TPMP.
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Poupette Kenza déclenche l’indignation en ligne
Jeudi 16 mai, le compte Instagram de Poupette Kenza, suivi par 1,2 million d’abonnés, a été désactivé. La veille, elle avait publié une vidéo contenant des propos antisémites. Moins de 14 heures plus tard, Instagram a réactivé le compte sans fournir d’explication officielle. Dans cette vidéo, Kenza déclarait qu’elle ne travaillait ni avec des sionistes, ni avec des juifs, n’ayant aucun partenaire ou agent de cette confession. Suite à la polémique, elle a tenté de clarifier ses propos dans une seconde vidéo. Elle y expliquait que son intention n’était pas de viser la communauté juive, mais de critiquer les sionistes et ceux finançant le conflit :
Je ne suis pas antisémite […] Je n’ai rien contre les juifs […] j’en ai juste contre les sionistes et ceux qui financent le génocide, ceux qui financent ce massacre.
Par la suite, l’influenceuse a publié un message d’excuses, expliquant que ses paroles ne reflétaient pas ses véritables intentions. Elle a admis parler souvent sans réfléchir, oubliant son statut de personnalité publique. Poupette a ajouté qu’elle avait commis « un abus de langage » qui avait malheureusement créé la polémique. Les propos de cette dernière ont suscité de vives réactions, y compris au sein du gouvernement. Aurore Bergé, ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, a rappelé l’illégalité de boycotter des individus en raison de leur identité ou religion. Par ailleurs, la Dilcrah, organisme gouvernemental de lutte contre les discriminations, a annoncé avoir saisi le procureur de la République suite aux déclarations de Poupette Kenza.
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TPMP dénonce les discours haineux
Cyril Hanouna et son équipe de chroniqueurs ont rapidement réagi à cette affaire lors de leur émission Touche pas à mon poste. L’animateur phare de C8 a exprimé sa consternation face aux propos de l’influenceuse et a souligné l’importance de la responsabilité médiatique. Gilles Verdez, chroniqueur régulier de l’émission, a dénoncé la dangereuse dérive des discours sur les réseaux sociaux. Valérie Bénaïm, quant à elle, a rappelé les précédents dérapages de Poupette Kenza, insistant sur la nécessité d’une prise de conscience parmi les influenceurs. Raymond Aabou, un autre chroniqueur de l’émission, a qualifié ses déclarations de discriminatoires et irresponsables.
En effet, il a affirmé que ses paroles constituaient une forme de racisme et a insisté pour que la justice la tienne responsable de ses actes devant un tribunal, plutôt que de la bannir simplement des réseaux sociaux. Guillaume Genton a également exprimé son indignation et a souligné la simplification extrême et irresponsable du conflit israélo-palestinien en ligne, où les discours de haine prolifèrent. La situation de Poupette Kenza reste incertaine. Les autorités examinent ses propos tandis que la pression médiatique ne faiblit pas. Ses excuses et ses explications n’ont pas suffi à calmer la tempête et elle risque désormais des poursuites pénales pour incitation à la haine et à la discrimination.
"Ce qu'elle a dit c'est très très grave !"
« Je ne travaille pour aucune personne juive » : Poupette Kenza doit-elle être bannie à vie des réseaux ? @raymondlematin réagit dans #TPMP pic.twitter.com/KM9m6k2uC0
— TPMP (@TPMP) May 16, 2024
"C'est délirant ! C'est un appel à la haine !"
« Je ne travaille pour aucune personne juive » : Poupette Kenza doit-elle être bannie à vie des réseaux ? Guillaume Genton réagit dans #TPMP pic.twitter.com/ysMQAwKWST
— TPMP (@TPMP) May 16, 2024